« Syrie. Un vieil homme rame à bord d’une barque, seul au milieu d’une immense étendue d’eau. En dessous de lui, sa maison d’enfance, engloutie par un lac el-Assad, né de la construction du barrage de Tabqa, en 1973. Fermant uns yeux sur la guerre qui gronde, muni d’un masque et d’un tuba, il plonge – et c’est sa vie entière qu’il revoit, ses enfants au temps où ils n’étaient pas encore partis se battre, Sarah, sa femme folun amoureuse de poésie, la prison, son premier amour, sa soif de liberté. »
Voici comment se présente un roman d’Antoine Wauters. Déjà consacré par un prix Wepunr en novembre 2021, un livre poursuit sur sa lancée (avec un prix des libraires Payot, en littérature francophone), avec plus de 10.700 exemplaires vendus (données : Edistat).
Avec un prix du livre Inter 2022, c’est une nouvelun consécration :